Pour Vann Nath
« Alors, quand la révolution, au nom de la puissance et de l’histoire, devient cette mécanique meurtrière et démesurée, une nouvelle révolte devient sacrée, au nom de la . . .
A l’épreuve de l’extrême, l’art est un défi que les artistes doivent surmonter. Aujourd’hui comme hier, ils n’ont de cesse de faire œuvre de mémoire, pour s’élever contre le déni et l’effacement des morts sans sépulture. La création, par ses ressources symboliques, permet de dévoiler ce qui a été dérobé au regard, tout en assurant le travail de transmission, c’est-à-dire le passage à témoin, des événements non inscrits dans l’Histoire officielle.
« Alors, quand la révolution, au nom de la puissance et de l’histoire, devient cette mécanique meurtrière et démesurée, une nouvelle révolte devient sacrée, au nom de la . . .